Coût économique d’une cyberattaque

Les cyberattaques peuvent entraîner d’énormes pertes financières. Ces pertes peuvent être causées par le vol d’informations d’entreprise ou financières, le vol d’argent, l’interruption des activités commerciales, la perte d’affaires ou de contrats et bien plus encore. Outre le risque de perdre de l’argent à cause des cyber-attaquants, les entreprises qui en ont fait l’expérience devront probablement payer la réparation des systèmes ou des appareils et parfois des frais de service à la clientèle, par exemple des cartes-cadeaux ou des remises.

Atteinte à la réputation

Les cyberattaques peuvent porter atteinte à la réputation de votre entreprise et ruiner la confiance essentielle dans les relations avec les clients. Elles entraînent donc une perte de clients, une perte de ventes ou une réduction des bénéfices. L’effet de l’atteinte à la réputation peut même avoir un impact sur vos fournisseurs, ou affecter les relations que vous pouvez avoir avec des partenaires, des investisseurs et d’autres tiers ayant un intérêt direct dans votre entreprise.

Conséquences juridiques d’une cyber-violation

Les lois sur la protection des données et la vie privée obligent à gérer la sécurité de toutes les données personnelles que vous détenez. Des amendes et des sanctions réglementaires seraient mises en place si ces données étaient accidentellement ou délibérément compromises. D’autre part, les entreprises qui se conforment au GDPR bénéficieront d’une relation de confiance accrue avec leurs clients, qui auront la certitude que leur vie privée est protégée.

Comment minimiser l’impact des cyberattaques sur les entreprises ?

Les failles de sécurité peuvent dévaster même les entreprises les plus résistantes. Il est important de gérer les risques en conséquence. Il peut être utile d’investir en permanence dans la formation, l’éducation et la sensibilisation des utilisateurs de votre organisation. Renseignez-vous sur la gestion des risques liés à la cybersécurité ou voyez comment protéger votre entreprise en ligne.

La sauvegarde en interne

La sauvegarde en interne existe depuis le temps des disquettes, des CD et des DVD. Actuellement, ces anciennes pratiques ont été remplacées par les disques durs externes et les serveurs en interne (NAS). Vous pouvez aussi utiliser les clés USB. Ils peuvent avoir une grande capacité de stockage. On se sert de ce périphérique, surtout pour cause de mobilité et de facilité d’utilisation. La sauvegarde sur les mémoires externes se fait dans ce cas manuellement par l’intervention des techniciens. L’enregistrement sur les serveurs quant à lui, se fait automatiquement, et cela, au quotidien.

La sauvegarde en ligne

Les avancées technologiques ont rendu possible la sauvegarde des données numériques en ligne. Cette solution est déjà adoptée par de nombreuses boîtes, notamment les PME. Elle consiste à stocker les données dans des serveurs à distance, autrement dit, dans le Cloud. La tâche de sécurisation des données revient au fournisseur de Cloud. Vous n’aurez plus qu’à sauvegarder vos données automatiquement à l’aide d’un logiciel programmateur de sauvegarde. En cas de besoin, vous pouvez accéder à vos données numériques via votre espace de stockage dédié.

La sauvegarde hybride

Sur internet, on est exposé à des menaces de plus en plus sophistiquées. Même si le prestataire du Cloud fournit une sécurisation à plusieurs niveaux, il ne peut pas assurer à 100% la sécurité de vos données. Pour la sauvegarde en interne, on perd des données importantes si on perd les disques durs externes ou bien si le serveur est détruit. L’avantage est qu’elle n’est pas vulnérable aux attaques effectuées sur internet. Pour maintenir la pérennité de votre entreprise, pourquoi ne pas établir une solution de sauvegarde hybride ? Il s’agit d’avoir en même temps une sauvegarde online et offline.

Encore peu comprise ?

Mais si on prend le temps de réfléchir au cas de la France, force est de constater que les vocations ne se bousculent pas au portillon et que les talents ne se présentent pas comme on l’aurait voulu. Les offres d’emplois sont supérieures à la demande et peu s’empresse de venir postuler. Faut-il en déduire que la plupart des gens ne prennent pas encore vraiment conscience des enjeux ? Ou bien c’est le métier qui est incompris ? Il apparaît que la longueur des études en décourage certains, alors qu’il faut tout de même plusieurs années avant de pouvoir acquérir les compétences utiles pour la cybersécurité de la nation. Alors, où est véritablement le problème ? Qu’est-ce qui explique qu’il y ait si peu de professionnels dédiés à la cybersécurité ?

Ce qu’il en est réellement

On le sait, les cyberattaques ne cessent jamais et elles sont de plus en plus destructrices. Et pourtant, le secteur de la cybersécurité peine à trouver de vrais experts capables d’endiguer ce fléau ou tout au moins en réduire au maximum la portée. Des études et des enquêtes ont réussi à démontrer que l’une des raisons principales à cette situation, c’est le fait que la France ne se donne pas les moyens d’y parvenir, ou plutôt, elle donne trop peu de moyens pour cela. Et pourtant, rien qu’en 2017, 37 % des entreprises françaises ont été victimes de piratage informatique, et on ne parle pas de petites boites ou de start-up de moyenne taille, non. Des grandes enseignes telles que BNP Paribas ont fait partie de ceux qui n’ont pas su se protéger. Il faut néanmoins relever le fait que de nouvelles dispositions légales ont vu le jour l’an dernier, dirigées par l’ANSSI. L’une d’elles consiste en la création d’un nouveau statut d’opérateur de service essentiel pour toute entreprise. Toutes, elles doivent renforcer la sécurité de leurs systèmes d’information.

Un budget par trop limité

Malgré ces mesures qui sont tout à fait louables, la France reste assez frileuse quand il s’agit de débloquer le budget que requiert la cybersécurité. Il suffit de rappeler qu’en 2017, l’ANSSI, avec 600 agents, n’a eu à sa disposition que 80 millions d’euros, ce qui est de loin inférieur au budget de fonctionnement dédié à l’Elysée alors qu’il est question de la sécurité de la nation, des entreprises et des citoyens. Et pourtant, l’ANSSI, en tant qu’organisme gouvernemental responsable de la mise en place d’une politique nationale de cybersécurité a plusieurs missions, entre autres sécuriser les systèmes d’information de chaque ministère, détecter toutes les attaques grâce à un centre de veille qui tourne 24h/24, former des agents, etc. L’ANSSI doit aussi collaborer avec les autres organismes similaires d’autres pays européens.

Indispensable disque dur

Pour rappel, un disque dur est un composant indispensable à tout ordinateur. C’est celui qui stocke le système d’exploitation, vos fichiers personnels, vos logiciels, etc. Mais un disque dur finit par s’user et vieillir et à ce stade, il aura du mal à garder les données qui y sont conservées. Ce qui vous oblige à vous en procurer un nouveau. Par exemple, un disque dur interne Caviar Blue WD10EZEX serait un excellent choix. Sachez que Western Digital est le numéro Un des disques durs, ce qui garantit la fiabilité et la robustesse de ses disques durs. Ce disque dur 1 To avec cache 64 Go augmentera considérablement la capacité de stockage de votre PC de bureau.

Pour une très grande capacité de stockage

Si votre travail exige une immense capacité de stockage, il vous faudra sans doute un disque dur de plusieurs To. C’est le cas du disque dur Seagate Barracuda 4 To, dont les dimensions sont de 10,1 x 14,6 x 2 cm. Il ne pèse que 46 grammes et possède une mémoire cache de 256 MB ainsi qu’une vitesse de rotation de 7 200 tpm, pour plus d’efficacité et de performance. Il fonctionne grâce à l’interface en série ATA III à 6.0 Gb/s. Vous pourriez aussi opter pour un disque dur interne Toshiba P300, d’une vitesse de 7 200 tpm, doté d’un détecteur de chocs et de la technologie Ramp-Load.

Quand utiliser l’ancrage interne ?

Si le texte présent sur une page est trop long et qu’il se divise en plusieurs sections et sous-sections, les liens d’ancrage peuvent être utiles. Ils peuvent servir pour la création d’une table de matière, une note de bas de page ou revenir en haut de page. Ils permettront au lecteur d’aller directement à la section qui l’intéresse sur la page. Au cas où le lecteur aurait besoin de faire un rappel sur ce qui aurait été dit précédemment, un lien d’ancrage lui sera aussi très utile. Les liens d’ancrage pointent souvent sur les titres ou les sous-titres. Cependant, ils peuvent également rediriger les lecteurs vers d’autres contenus. Ils peuvent par exemple rediriger vers un texte important à l’intérieur d’un paragraphe. Ils permettent aussi de rediriger vers des images ou vidéos présents sur une même page et qui servent d’explications supplémentaires pour le texte.

Comment effectuer un ancrage interne ?

Pour faire un lien d’ancrage, il est nécessaire de faire quelques ajouts dans le code HTML de votre texte. Dans un cas concret, vous aimerez par exemple qu’en cliquant sur un titre présent sur une table de matières, le lecteur soit redirigé vers la section portant le même titre. Pour ce faire, si vous utilisez un éditeur de texte comme celui de WordPress, vous devrez le régler en mode « Texte » afin de visualiser les balises HTML. Ces balises sont les mots compris entre les signes < et >. Les textes sous forme de titre apparaîtront entre des balises H. Divers niveaux de priorité existent, comme qui sera h1 le titre principal et h2 le premier sous-titre. h3 en sera le second sous titre et ainsi de suite. Pour que ces titres soient ciblés pour l’ancrage, il faudra leur attribuer une identité notée « id ». Vous pouvez écrire n’importe quel nom pour l’identité de la balise dans ce cas. Allez ensuite à la table de matière et choisissez le texte qu’il faudra cliquer pour être redirigé vers le titre précédemment modifié. Sélectionnez le texte et ajoutez-lui un lien. La valeur de ce lien devra être l’« id » que vous avez donné au titre ciblé, précédé du symbole « # ». De ce fait, en cliquant sur ce lien, vous serez redirigé vers la section que vous avez ciblée. Le procédé est le même si vous voulez créer des liens d’ancrage à d’autres endroits de votre texte. Outre cela, si vous souhaitez créer des liens d’ancrage vers une image, vous devrez ajouter une « id » avec n’importe quel nom de votre choix dans la balise img contenant l’image. Ensuite, choisissez le texte qui contiendra le lien et qui aura pour valeur l’id de l’image. Les attributs « id » de chacun de vos éléments cibles devront toutefois être distincts les uns des autres pour être sûr que les liens d’ancrage pointent bien vers la bonne cible.

Les PC de bureau dans les entreprises

En ces temps modernes où la compétition est de plus en plus acharnée, les entreprises cherchent et mettent en place tous les moyens possibles pour accroître leur productivité et leur vente. Cela passe par l’utilisation d’ordinateurs portables car armés de tels appareils, les collaborateurs gagnent en mobilité, se mettent au télétravail sans problème, peuvent travailler dans un bus, dans un train et sont capables de conclure des contrats plus rapidement et plus facilement. Les entreprises remettent petit à petit ou massivement les PC de bureau dans la cave. Elles trouvent que les ordinateurs portables sont de loin plus intéressants et en plus, leur épargnent l’achat d’écrans séparés et d’autres périphériques.

Quel sera le futur des PC de bureau ?

Tous ces faits et tous ces chiffres ne signifient pas pour autant que c’est la fin pour les PC de bureau. Le fait est que les PC de bureau seront toujours utiles, et irremplaçables, pour une certaine catégorie de travailleurs et de missions. C’est le cas des programmeurs qui auront toujours besoin de la vitesse et de la puissance d’un ordinateur de bureau pour coder. Il en va de même pour les employés de tâches. Les PC de bureau ont encore de longs jours devant eux…

Connaissez-vous le ThinkCentre M90n-1 Nano ?

C’est tout neuf, c’est tout récent, mais en tant que dirigeant d’entreprise, il est probable que vous en ayez entendu parler. On parle du ThinkCentre M90n-1 Nano, le plus petit ordinateur de bureau au monde, fabriqué par Lenovo. Il a la puissance d’un gros ordinateur de bureau mais sa conception fait qu’il est capable de prendre en charge divers espaces de travail. Tout cela en étant peu encombrant, comme avec un ordinateur portable. Ce PC de bureau possède des performances inégalées. En effet, cet ordinateur peut être modulé de manière à fonctionner avec des processeurs Intel Core i7 et 16 Go de mémoire DDR4. C’est l’idéal pour vos collègues qui doivent accomplir plusieurs tâches chaque jour.

Les caractéristiques incroyables du ThinkCentre M90n-1 Nano

S’il est spécifié pour fonctionner avec des processeurs de 8e génération avec un stockage SSD jusqu’à 510 Go, le ThinkCentre M90n-1 Nano permet des options multi-utilisateurs et offre une connectivité variée. Parfait donc pour rester connectés à ceux qui travaillent au bureau, chez eux et à ceux qui sont en voyage. De plus, le fait que cet ordinateur incomparable ait un design compact fait que même si vos collaborateurs ont un intérieur domestique de petite taille, il s’adapte. Il peut être accroché sous une table de travail, sur un mur, partout, et peut être alimenté via un seul câble par un moniteur USB par exemple.